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En entrant sur ce site, je reconnais être majeur(e) et que je suis autorisé(e) par la législation de mon pays à acheter des produits contenant de la nicotine.
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En avril, la vape a connu son lot d’infos à relever, sans parler de nos nouveautés bien sûr. On en avait marre des études bancales (mais parfois très drôles, on l’avoue) sur les divers méfaits de la cigarette électronique. Alors, on cherchait les infos les plus sympas à vous communiquer. Et on a trouvé.
Cette revue de presse, comme la vape d’ailleurs, ne vous rendra pas aveugle, c’est promis. En revanche, elle vous montre que certains pays ouvrent enfin les yeux sur la réalité de la cigarette électronique comme outil de sevrage. C’est sûr, les yeux fermés, on ne peut pas voir ce qui est pourtant évident les yeux ouverts.
Petit tour du monde des infos qui auraient pu vous échapper pour finir en beauté par une touche d’humour signée Vaping Post.
C’est un fait qui va intéresser autant les danseurs de samba que les vapoteurs de ce pays (et les touristes qui y vont pour voir les danseurs de samba). Le Brésil, qui interdit la vape depuis 2009 sur son territoire, pourrait changer son point de vue et légaliser l’usage de la cigarette électronique.
C’est du moins ce qui ressort des premiers mots de l’agence de santé gouvernementale brésilienne qui planche sur le sujet. Rien n’est fait, mais l’histoire reste à suivre.
On en a déjà parlé plusieurs fois, nous n’allons pas de nouveau insister sur le fait que les puffs jetables sont de véritables bombes de négativité autour du mot “vape”. Nous non mais 60 millions de Consommateurs Le Magazine oui.
Sur son site internet, le célèbre journal d’information des produits de consommation du quotidien aborde le sujet des puffs. Et il n’y va pas avec le dos de la cuillère : angle sanitaire, commercial ou écologique, tout y passe pour tomber sur ces produits.
Le Global State of Tobacco Harm Reduction publie dernièrement un rapport faisant état de statistiques à l’échelle mondiale sur la consommation de cigarette électronique. Aujourd’hui, nous serions près de 100 millions de vapoteurs sur la planète.
Ce chiffre doit être mis en parallèle avec le nombre de fumeurs dans le monde (1,1 milliard) avant de sauter de joie. Toujours est-il que le nombre de vapoteur a augmenté de 20% (14 millions) entre 2021 et 2021 passant à 82 millions. Et Les 18 millions restants ? Ce sont les fumeurs qui vapotent et consomment encore du tabac. Tout de même, voilà près d’1 fumeur sur 10 dans le monde qui a quitté le tabac pour la vape, c’est une bonne nouvelle pour la santé publique mondiale non ?
La Malaisie est un paradoxe levé dans le monde de la vape. Le pays, réputé pour ses fabricants d’arômes et de liquides pour cigarette électronique, était aussi celui interdisant l’usage de la vapoteuse sur son territoire. Depuis 5 ans, le paradoxe était entretenu et il sera levé au mois d’août, les Malaisiens seront de nouveau autorisés à vapoter.
En Australie, vapoter ce n’est pas simple. Pour acheter une e-cigarette, il vous faut une ordonnance de votre médecin. Dans ce contexte, difficile de trouver un volume de vapoteurs, disons, spontanés, qui jetteraient leur dernier paquet de cigarettes pour foncer dans un vape shop et arrêter de fumer.
Cette étude, publiée par un chercheur texan, s’appuie sur les statistiques australiennes et le résultat est plus que probant : la vape augmenteraient de 60 à 120% la réussite possible d’arrêter le tabac. Les organismes qui luttent pour la reconnaissance de la vape en Australie continuent donc la lutte, avec un argument de plus en leur faveur.
Vaping Post s’est encore une fois lâché. Comme à chaque fois, on adore et on est obligés de vous le partager. Dans cet article, l’auteur évoque les élections présidentielles sous l’angle de la vape. Le ton est génial, on vous le conseille fortement.
